Oui, il est important que vous ayez un accès rapide, facile et sécurisé à votre bunker en cas de situation d’urgence.

Nous pouvons le raccorder directement à votre sous sol en fonction des caractéristiques géotechniques du sous-sol et du bâti existant auquel il faudra prêter une grande attention, en particulier au niveau des fondations.
 

1 – Clairement non, même si techniquement nous pouvons construire de véritables espaces monolithiques ou coquilles monobloc, il est clair que les zones de glissement de terrain, de dolines, de nappes phréatiques, et de fortes sismicité ne s’y prêtent pas.

Les apparences étant souvent trompeuses, le législateur a imposé avec raison des études géotechniques obligatoires suites aux trop nombreux sinistres de construction faisant l’impasse sur cette étude, et ruinant au final de nombreux propriétaires.

En effet, dans une même zone peuvent coexister plusieurs types de terrain (33 types de sols différents en France).

2 – Si depuis octobre 2020 vous avez acquis un terrain en France en vue d’une construction neuve, il vous été remis par le vendeur une fiche d’informations mentionnant les caractéristiques géotechniques dudit terrain.

Celles-ci mettent essentiellement l’accent sur les zones de retrait-gonflement des argiles (triasiques ou sismiques) qui provoquent d’importants dommages à la construction.
Plus d’infos https://www.georisques.gouv.fr/risques/retrait-gonflement-des-argiles

3 – Avant 2020 et/ou si vous ne possédez aucune étude géotechnique, pas de panique nous réalisons pour vous une enquête préliminaire permettant de déterminer les spécificités géotechniques du terrain pour vous aider à définir l’opportunité d’avancer plus avant dans votre projet, et vous éviter de dépenser des sommes en pure perte.

En fonction de la pertinence de ces données, une étude géotechnique, conforme à la norme NF-P-94-500 permettra de calculer la résistance du sol avec un pénétromètre dynamique qui révélera ses caractéristiques physiques et mécaniques, et les contraintes induites.

Cette étude réalisée par un ingénieur géologue, à la charge du client, est obligatoire pour finaliser tout contrat, et bénéficier de la garantie dommage-ouvrage.

Oui, nous intervenons partout en Europe ou ailleurs en fonction de la nature de votre projet que ce soit en zone urbaine, péri-urbaine ou autre part.

Notre process de construction est parfaitement adapté au hors site, sur tout type de zones, y compris celles inaccessibles par voie terrestre.

Contrairement aux modes constructifs traditionnels qui atteignent leurs limites, nos solutions techniques conviennent parfaitement aux milieux difficiles voire hostiles.

En moyenne ou haute montagne, certaines constructions anciennes sont aujourd’hui situées dans des zones de danger, on s’appuiera donc sur les plans de prévention des risques technologiques (PPRT), du Document d’Information Communal sur les Risques Majeurs (DICRIM), et des contraintes d’urbanisme, relative au développement et à la protection de la montagne (Loi n° 85-30 du 9 janvier 1985).

Néanmoins, la nature du sol étant mobile il convient d’observer l’environnement local pour détecter les zones de dangers potentiels, cela ne peut se voir qu’à la période propice à la construction en elle même, ce qui en plus limite les aléas dus à la météo, et aux surcoûts induits.

Pour les propriétaires de terrains en basse plaine qui souhaitent établir une base autonome durable, nous recommandons d’éviter les zones humides et marécageuses ou en voie d’eutrophisation pouvant provoquer des phénomènes locaux d’anoxie mortelle (privation d’oxygène) dans l’air, et/ou libérant des composés hautement toxiques tous aussi mortels, et totalement inodores comme le dioxyde de carbone (CO2).

Ceux en zone forestière, et en zone désertique l’accès à l’eau est le critère n°1 pour survivre, il existe de multiples solutions, et équipements capable de générer de l’eau à partir de l’air ambiant qui doivent impérativement être adaptés au lieu.

Dans de tels environnements reculés et dénués de présence humaine, même d’apparence hostile, les risques sont très fortement réduits, et il est facile de concevoir un bunker ou encore une base autonome durable (BAD) confortable, sachant pleinement tirer parti du milieu local.

Cette question est en relation directe avec l’étude géotechnique qui définit la résistance de votre terrain et détermine la profondeur d’enfouissement de votre abri NRBC-E, et des calculs spécifiques d’atténuation de masse des matériaux.

En moyenne un abri NRBC-E est enterré sous 3 mètres ( 9,84 ft ) minimum à plus de 12 mètres ( 39,37 ft ) de terre à partir du plafond, et non pas du sol…

1 – un abri semi-enterré si bien conçu (ancré…) vous protège en cas de catastrophe climatique comme une forte tempête, une tornade, un ouragan, etc… mais n’est pas un abri anti-bombes.

2 – un abri simplement enfoui à 50cm à 1m ( 1,64 ft to 3,28 ft ) est un abri de protection à court terme qui varie de quelques heures à 15 jours environ, et vous protégera des risques bactériologiques, les poussières chimiques et radioactives, mais ne protège pas d’une onde de choc de forte puissance, ni de la menace radiologique des impulsions électromagnétiques pulsées (EMP / IEM).

3 – un abri de haute qualité classé NRBC-E recouvert d’une épaisse couche de terre spécifiquement déterminée, sera capable d’atténuer une onde de choc de forte puissance, d’un séisme, d’un *flash solaire, de la menace radiologique, et des impulsions électromagnétiques pulsées (EMP / IEM).

Un *flash solaire (micro-nova) est une projection énorme de lumière, d’énergie et de débris de matière fondue du Soleil qui frappe physiquement la surface de la Terre produisant une chaleur intense dans l’atmosphère dont la température en surface peut atteindre les 1.000°C (1832°F).

A savoir et à bien intégrer…
Les nouveaux types de bombes à explosion volumique (non-atomiques), remplies de carburant liquide, et d’une charge de dispersion créent à l’impact une onde de choc de forte puissance qui se propage à une distance et à une vitesse fulgurante…

Les roquettes équipées d’ogives thermobariques produisent des effets extrêmement dévastateurs sur plusieurs dizaines de milliers de mètres carrés… les structures sont littéralement rasées, rien ne subsiste…

Les nouveaux missiles à ogive guidée hypersoniques sont de véritables “poignards” capables de contourner tous les systèmes de défense aérienne, et antimissiles existants…

Ceci est donc à rapporter à l’environnement et aux menaces (nucléaire, accident industriel, terrorisme, etc…) quant au type d’abri à construire, et la profondeur à laquelle il doit être enterré…

Vous pouvez simuler les effets de la zone de déflagration d’une bombe dans votre zone à partir de l’appli “NUKEMAP” https://nuclearsecrecy.com/nukemap/

Les ondes électromagnétiques pulsées IEM / EMP peuvent provenir de la foudre, des bombes à neutrons, composées de générateurs magnéto-cumulatifs, d’une bombe atomique, d’un flash solaire ou micro-nova, les radiofréquences (RF), les armes à énergie dirigée ou soniques.

Ces ondes détruisent TOUS les appareils électroniques, les téléphones portables, le réseau internet, les radios, les centrales électriques, mais aussi endommagent gravement notre biologie et notre ADN.

Comme indiqué à Panic-Room “Cage de Faraday” pour une protection efficace on privilégie des matériaux avec un grand nombre atomique (Z), et une densité élevée, on parle alors d’épaisseur de demie-atténuation (CDA) qui est déterminée par des calculs spécifiques d’atténuation de masse des matériaux (de 1 à 1950 KeV), et l’étude géotechnique qui détermine la profondeur d’enfouissement.

En moyenne, il faut être sous 3 m ( 9,84 ft ) de terre compacte, ou 1,30 m ( 4,27 ft ) de béton, ou 20 cm ( 0,66 ft ) de plomb, des composés fortement hydrogénés comme la paraffine, l’eau dont l’hydrogène possède la même masse/taille que le neutron, en cumulant ces matériaux selon ces calculs, et en les associant au besoin à des produits spécifiquement conçus pour les applications de blindage nucléaire, bien moins lourds.

Nos abris NRBC-E forment naturellement une cage de Faraday qui décharge les courants induits dans la terre, avec un haut niveau de protection qui peut être étendu selon vos besoins.

Les réseaux sont reliés à la terre, l’alimentation électrique du bunker est réalisée avec un câble blindé et sur-protégé par une gaine anti-ondes qui atténue jusqu’à 99% le rayonnement électromagnétique du courant alternatif à 50 Hz (très basse fréquence) incompatible avec la santé humaine.

En fonction du type d’abri, et en option un espace blindé dédié peut être réalisé avec des matériaux spéciaux allant de 40dB à 120dB et de 1KHz à 30MHz, et certifiés Hardness Critical Items (HCI) pour tous les équipements électriques, et électroniques sensibles.

C’est là que nous voyons en quoi l’étude géotechnique prend tout son sens… ce qui influe directement sur votre survie…

Nous utilisons un béton lourd fibré à ultra hautes performances (BFUHP) à base de fumée de silice, de silicates, et d’adjuvants plastifiants qui une offrent une structure très dense, TROIS fois plus résistante que les bétons traditionnels, et empêche toute attaque des ions chlorures, des acides et alcalis, et autres phénomènes chimiques d’abrasion du béton, et de carbonatation (corrosion des fers).

Parallèlement nous utilisons des granulats denses qui offrent un bouclier neutronique très efficace comme les barytines (sulfate de baryum), de l’hématite, de la magnétite (minerais à base d’oxyde de fer), ou des fibres métalliques tels les grenailles de fer ou d’acier au carbone.

De plus, en fonction du projet et de l’environnement nous utilisons des armatures en matériaux composites à haute résistance, trois fois supérieure à celle de l’acier, et sans aucun effet de carbonatation.

Ce type de béton se distingue des bétons à hautes performances, et constitue une véritable rupture technologique qui vous offre une protection :

• contre les explosions,
• anti-fragmentation,
• parasismique,
• extrême compacité,
• dureté de surface très importante,
• une faible perméabilité,
• forte résistance aux cycles gel/dégel,
• ductilité importante (capacité à se déformer et à s’étirer sans rupture),
• grande résistance aux inondations, tornades, etc…

Ce béton répond aux normes très strictes de l’ultra-résistance, et offre une endurance mécanique importante en compression entre 150 et 250 MPa / MégaPascal ( 21755.66 et 36259.43 Psi ).

Votre bunker intègre un double treillis armé 20X20 pour une épaisseur de murs finis de 40 cm ( 1,31 ft ), et la dalle de plafond finie sur 80 cm ( 2,62 ft ) de hauteur, le tout coulé en une coque monobloc étanche, sans rupture de béton (comme cela doit l’être pour une piscine).

Comme nous l’avons vu, c’est aussi la résistance de votre terrain qui détermine sa profondeur d’enfouissement (qui varie d’un terrain à l’autre).

Cela répond à la physique des ondes de choc d’une d’explosion, en effet votre bunker doit résister à une surpression d’environ 70 tonnes par m2 au sol pour prétendre vous offrir une protection totale jusqu’au grade 7 qui est le niveau le plus élevé sur l’échelle INES.

Voilà pourquoi on ne construit pas un bunker comme une construction traditionnelle, que l’on utilise des matériaux spécifiques de qualité supérieure, que les process de mise en œuvre sont plus complexes, et exigent une grande rigueur.

Ce que vous devez savoir sur le béton armé
Cela exige de prendre quelques considérations car les ouvrages en béton sont soumis à de multiples de facteurs qui peuvent entraîner des dégradations très importantes :

• erreurs de conception,
• impasses techniques,
• dosage en ciment inadéquat,
• absence d’adjuvants essentiels,
• absence d’écarteurs, d’épingles,
• ferraillage discontinu, de faibles sections,
• mise en œuvre bâclée,
• coulage d’ouvrage en discontinu et absence d’homogénéité,
• absence de protections essentielles,
• effritements ou éclatement du à la carbonatation,
• courants vagabonds,
• intempéries, pluies acides, cycles de gel/dégel,
• réaction alcalis-agrégés, sels et chlorures,
• produits chimiques, etc…,
• et bien d’autres…

Chacun connaît le dicton : “mieux vaut prévenir que guérir”.

D’autres facteurs sont négligés soit par méconnaissance, soit par négligence, soit pour raison économique, et ont un impact significatif sur la résistance de l’ouvrage et sa pérennité, mais plus encore sur votre sécurité…

En effet ces causes génèrent un dangereux cercle vicieux, résultant à moyen terme de graves désordres… comme par exemple des infiltrations d’eau, des remontées capillaires, de l’humidité engendrant de sérieux problèmes rendant l’ouvrage impropre à sa destination…

Le choix d’un béton armé n’est donc pas à prendre à la légère, tout comme sa mise en œuvre qui ne se limite pas à couler un simple béton entre deux panneaux, ou à remplir de simples aglos (parpaings creux à bancher)…

Pour les sols argileux (argiles gonflantes / triasiques – sismiques), et/ou avec présence de nappes phréatiques, de ruissellements, etc… nous disposons d’éléments spécifiques pour répondre à tous les cas de figures comme les contraintes de charges mobiles ou pressions du sol (lithostatiques), d’étanchéité notamment les eaux de pluie, de ruissellement, pour diminuer l’effet de mur froid, etc…

C’est par tous ces détails que vous serez à même de faire la différence, car il en va de votre survie.

C’est pourquoi, au delà de tout discours marketing, votre bunker réalisé par nos soins sera 3 fois plus résistant qu’un bunker traditionnel, et vous offrira une durabilité absolue de plus de 1.000 ans.

Non, comme pour une piscine, le coût du terrassement dépend directement de l’analyse géotechnique qui déterminera la nature du sol.

En effet, il est très différent de faire une excavation dans un terrain meuble, et un autre rocailleux en terme d’équipements, de temps, et de difficultés (réseaux enterrés non signalés, nappes, blocs massifs, veines de granit, etc…) dont nul ne peut le prévoir à l’avance.

La France n’ayant pas de politique de prévention nucléaire pour la construction d’un bunker privé, votre abri doit respecter les règles du code de l’urbanisme et du PLU (Plan Local d’Urbanisme), et suivre les réglementations qui peuvent varier d’une commune à l’autre.

Les dispositions du Code de l’urbanisme relatives à l’exhaussement des sols sont indiquées par les articles R. 421-20, R. 421-23 et R. 421-19

Pour la Surface de Plancher >cliquez ici <

Téléchargez la fiche PDF de Surface De Plancher (SDP) Contexte juridique – Ordre des architectes

Il est toujours préférable de se renseigner au préalable en mairie pour savoir si votre projet nécessite une déclaration préalable de travaux ou un permis de construire.

A savoir : en l’absence d’un PLU, le RNU (Règlement National d’Urbanisme) est la référence à suivre.

Votre bunker est relié au réseau électrique de votre habitation, cependant il est possible que le réseau électrique puisse être coupé ou désactivé temporairement.

Pour palier à cette situation, nous vous proposons diverses solutions alternatives hors réseau pour être pleinement autonome avec de multiples systèmes en redondance.

Nous recommandons un mix de systèmes issus du low-tech qui sont robustes, faciles à entretenir, mais surtout à réparer, et donc bien plus résilients.

La modernité a ses limites, certains équipements, trop sophistiqués risquent de faire défaut, même si nous sommes dans une cage de Faraday, le risque zéro n’existe pas.

Même un impact de foudre assez puissant ou une IEM / EMP est capable de passer à travers un parafoudre, y compris un découpeur automatique, et de détruire l’installation électrique reliée au réseau.

En effet, les réseaux électriques et l’ensemble des appareils qui y sont raccordés émettent des champs magnétiques, même éteints, mesurés en volt par mètre (V/m) et en Microtesla (μT).

Pour rappel, seule une cage de Faraday pourra vous prémunir des rayonnements ionisants (voir l’article “les ondes” et “Panic room”).

Voilà pourquoi il est important de segmenter son réseau avec des équipements en redondance, et de respecter les schémas d’installation spécifiques liés à la résilience, à fortiori dans un bunker…

En effet, la méconnaissance et les erreurs de conception et/ou d’installation se paient cash, et vous mettent directement en danger…

Au risque de nous répéter, on ne conçoit, ni ne réalise un abri comme une construction traditionnelle…

Pour aller plus loin dans le raisonnement, il en est de même pour vos véhicules… un bon vieux système électrique de conception simple sera bien plus fiable qu’un plus moderne avec son électronique multiplex…, de même un vieux moteur gazole à chaîne des années 1980 sera bien plus robuste et durable qu’un moteur plus puissant avec une courroie en caoutchouc synthétique… qui est un consommable…

Là aussi nous avons des solutions pertinentes qui prennent aujourd’hui tout leur sens…

Nous vous proposons une réserve en eau par cuve en béton à partir de 5 m3 (879.UK gal / 1056.US gal) adaptée au nombre d’occupants et à l’autonomie souhaitée de 1 mois à 6 mois voire plus.

Celle-ci peut être alimentée et/ou renouvelée à partir de plusieurs sources et/ou équipement spécifique, selon votre choix.

Comme indiqué à l’article “l’eau” le béton est la seule façon de stocker de l’eau sans qu’elle ne croupisse, et ne développe un biofilm potentiellement pathogène, en tout état de cause nous vous proposons une ultrafiltration par osmose inverse directe (toujours précédée d’un pré-traitement), désinfection UV, reminéralisation et dynamisation afin de vous garantir une eau purifiée et saine garante de votre santé.

De plus, nous pouvons également équiper votre bunker d’un système adiabatique qui produira de l’eau à partir de l’air ambiant, fonctionnant à l’électricité du réseau, et vous procure plusieurs avantages :

• autonomie en eau potable,
• eau saine : pH de 7 environ (potentiel hydrogène),
• s’adapte à toutes les sources d’énergie durables,
• économe 450 watts (un petit réfrigérateur consomme 1.000 à 1.500 watts),
• réduit l’hygrométrie,
• assainit l’air.

A savoir : selon une étude de l’Université de Stockholm (Suède) l’eau de pluie est désormais impropre à la consommation partout sur Terre, même dans les zones les plus isolées.

Ces eaux sont contaminées par les substances perfluoroalkylées et polyfluoroalkylées (PFAS) également surnommées “produits chimiques éternels” à l’origine de nombreux problèmes de santé, et autres maladies graves – Environmental Science & Technology.

Comme nous l’avons indiqué la redondance implique de multiplier les systèmes, surtout en mode “survie”.

L’osmose inverse associée à une pré-filtration de qualité avec notamment des charbons actifs sont des *adsorbants à très large spectre contre les micro-polluants inorganiques, biologiques, métaux lourds, etc…, est une méthode fiable pour garantir la qualité de l’eau potable.
*Capacité à capturer des molécules très fines (atome) sur une surface.

Néanmoins en ce qui concerne l’eau contaminée par radioactivité l’osmose inverse ne peut purifier que 70% maximum, les éléments radioactifs s’accumulent dans les 30% restants.

Nous disposons d’équipements spécifiques très innovants à adsorption qui filtrent efficacement les éléments radioactifs de l’eau contaminée, mais aussi les micro contaminants, les métaux lourds (arsenic, plomb et mercure, etc…).

En effet, selon l’Association pour le contrôle de la radioactivité dans l’Ouest (ACRO) plus de 268 communes, soit 6,4 millions de personnes sont concernées par la présence de *tritium dans l’eau potable en France métropolitaine, et en se basant sur les données du ministère de la Santé.
*(l’hydrogène radioactif rejeté par les installations nucléaires).

Même si aucune valeur enregistrée ne dépassait le seuil de 100 becquerels par litre (100 Bq/L) il n’en demeure pas moins que nul ne sait ce qu’il advient des effets à long terme d’une consommation d’eau polluée aux radionucléides, on peut raisonnablement s’imaginer que l’on n’en sort pas indemne (cancers, leucémie, lymphome, etc…).

De plus les retombées radioactives d’une explosion ou d’un accident nucléaire contaminera l’air, les sols et les eaux de surfaces.

En plus des pastilles d’iode (iodure de potassium K+ I−), nous réalisons une installation de traitement particulière intégrant ces nouveaux filtres dans votre abri.

A toutes fins utiles, sachez que l’eau potable est non conforme aux critères de qualité pour 20% des Français, soit 12 millions de personnes (voir à Habitat et Bien-Etre – l’article “l’eau”).

Les bunkers en acier qui sont prévus pour une utilisation temporaire sont équipés de toilettes sèches, à séparation des liquides/solides, chimiques, ou autre en fonction de votre choix.

Bien évidemment, nous savons vous apporter tout le confort nécessaire, et toutes les solutions techniques appropriées, robustes et durables.

Pour les bunkers en béton, plusieurs procédés pourront vous être proposés adaptés à votre environnement, selon votre choix dans le respect des règlementation en vigueur.

Pour rappel :
Un abri acier est prévu pour une utilisation temporaire.
Un bunker en béton peut être habité à l’année (si réalisé dans les règles de l’art…).

Comme nous l’avons indiqué la conception d’un abri exige des connaissances approfondies, des matériaux et équipements spécifiques de haute qualité, en redondance, et sa construction requiert des savoir-faire et prestations d’excellence.

A défaut vous risquez :

• abri non stabilisé, et fissures,
• fuites structurelles,
• inondation lors de fortes pluies,
• mauvaise ventilation, mal dimensionnée, mal équilibrée,
• humidité et moisissures,
• désagrégations conséquentes,
• des risques de pannes élevées,
• réparations difficiles et coûteuses.

Un abri ou bunker conçu et réalisé dans les règles de l’art vous évitera de nombreux désagréments, et vous procurera une réelle sécurité en période troublée, de phénomène climatique extrême, et/ou de rupture de normalité.

Construire un abri est une démarche résiliente, en conséquence s’il est possible d’y intégrer des éléments de confort modernes, il est important de considérer que ceux-ci doivent être en redondance, et d’avoir les éléments d’entretien courant en réserve.

On privilégiera des systèmes avec des modes manuels, et électro-mécaniques (au lieu d’électronique trop sophistiquée) robustes issus de la *low-tech, faciles à entretenir et à réparer comme pour les commandes d’automatisme, de filtration d’air, d’eau, d’électricité, d’assainissement, de sécurité, etc…

* la low-tech correspond parfaitement à la finalité d’un bunker qui est d’être automne en cas de situation à risque.
sobriété : tend vers l’optimum technologique avec un haut niveau de fiabilité
efficient : minimise la consommation d’énergie
pérenne : une viabilité fonctionnelle à long terme
maintenance : réduite, et qui peut facilement être réparé
accessible : une simplicité d’utilisation

C’est donc avant tout une réflexion minutieuse pour définir vos réels besoins, mais aussi leur évolution.

Cela nécessite une veille technologique pointue et une sélection rigoureuse pour déceler parmi tous les équipements et discours marketing ceux qui possèdent des performances éprouvées, une maintenance réduite, et une robustesse gage d’une sérénité pérenne.

Il est donc important de comparer les modes constructifs et éléments techniques adaptés à vos contraintes environnementales, et aux risques réels potentiels.

Faites-vous accompagner par un homme de l’art, comme un architecte et un bureau d’études le cas échéant.

Nous construisons nos abris en veillant à ces paramètres qui vont influer directement sur votre confort :

1 – Pendant la construction :

• la gestion du radon,
• l’épaisseur du radier ferraillé,
• le drainage et la collecte des effluents,
• la méthode constructive,
• la gestion de la réserve de l’eau potable,
• l’assainissement des eaux grises et noires,
• les réservation,
• l’étanchéité de la structure.

2 – Une fois la structure en place et coulée :

• protection périphérique externe, et remblayage,
• les équipements de sécurité, et des accès,
• le renouvellement de l’air, et l’assèchement,
• l’isolation intérieure,
• l’installation des réseaux et des équipements selon les préceptes de la résilience,
• la mise en œuvre des éléments de décor, de confort, et de distraction.

Le confort est assuré principalement par une ventilation efficace, une température agréable, une luminosité naturelle, le niveau d’équipements de confort et de décoration souhaité.

Nous pouvons vous offrir des éléments modernes et design qui vous feront vite oublier que vous êtes dans un bunker souterrain, la seule limite est l’imagination…

C’est aussi des matériaux naturels, low-tech, dotés d’excellentes propriétés thermiques et acoustiques, au look très tendance qui ajoutent une valeur artistique aux surfaces.

Non ! attendez de voir !

Nous vous proposons des systèmes d’éclairages innovants de haute qualité, alliant design, et flexibilité qui vous offrent les bénéfices de la *luminothérapie :

Des dalles de plafonds lumineux assurant la continuité du rythme circadien (jour/nuit) qui peut être modulée selon vos envies avec une intensité naturelle proche de la lumière du jour.

De véritables décors ou scènes réels en videos 4K (Ultra HD) comme un ciel nuageux, avec des arbres, des oiseaux, etc… qui créent une connexion très réaliste avec la nature.

C’est aussi des luminaires tendances, originaux, et exceptionnels, et des éclairages indirects qui créent des ambiances stylées, et dont la luminosité peut être pilotée par la voix, par le mouvement de la main, et par le toucher en étant indépendant d’internet (système OFFLINE).

En circuit fermé vos commandes sont en sécurité et inviolables par rapport au cloud de Google, d’Alexa, d’Amazon AWS, etc… ou un tiers peut avoir accès à vos données, et donc les pirater, les détourner, les divulguer…

Que ce soit pour un éclairage architectural haut de gamme, et/ou centré sur l’humain celui-ci nécessite une planification réfléchie minutieuse et ergonomique.

Nous privilégions des produits de haute qualité, économe en énergie, avec les meilleures performances et rendements lumineux.

En effet ceux-ci ont un IRC / CRI élevé (indice de rendu des couleurs) allant jusqu’à 99 CRI qui se rapproche de la lumière naturelle du jour qui est de 100 CRI à 6500 K, à l’instar des produits standards qui eux ont une valeur moyenne de 75 / 80 CRI.

Le degré Kelvin (°K) variant de 2.000°K très tôt le matin, à 6.500 °K à 12h00, et à 2.000 °K en fin d’après-midi, ces paramètres de luminosité dépendant de votre localisation, saison, et conditions météo.

*La luminothérapie a une influence très positive contre la dépression saisonnière, en hiver, ou lorsque que nous manquons de soleil, et a des effets importants sur notre rythme biologique, soutient la santé, et le bien-être à long terme.

La température intérieure moyenne d’un bunker est d’environ 15°C (59°F) et dépend de sa localisation et de la nature du terrain.

En France elle se situe entre 7°C et 16°C (44°F à 60°F) selon que vous soyez par exemple dans les hautes Alpes ou sur le bassin méditerranéen.

En conséquence, il est nécessaire d’isoler intégralement le bunker c’est à dire le sol, le plafond, et les murs, et en y associant un mode de chauffage résilient, peu consommateur en énergie.

Le mode constructif influe directement, s’il est conçu pour éviter les parois froides, c’est déjà gagner quelques degrés.

Pourquoi est-ce si important ?
Parce qu’un bunker doit être par principe peu consommateur d’énergie, c’est l’exemple concret de la résilience, notamment pour le cas où celle-ci n’est plus disponible à profusion ou soumise à quotas, voire pire…

Ajoutons à cela des matériaux isolants choisis pour leurs performances, avec un déphasage lent, et des équipements de qualité vous n’aurez besoin que de peu d’énergie pour obtenir un confort constant à long terme.

Cette notion de confort étant associée a une hygrométrie et ventilation régulée qui vous procureront un air sain.

Il est donc nécessaire d’y associer plusieurs sources d’énergie autonomes et sécurisées, indépendantes du réseau, voilà pourquoi la redondance des équipements est incontournable…

Nous préconisons des matériaux à résistance thermique (R) élevée qui sont les plus isolants, et dont la conductivité thermique λ (lambda) est faible (plus le lambda est petit, moins il laisse perdre de chaleur pour une même épaisseur).

La résistance thermique R est mesurée en mètre carré kelvin (W/m2.K) et dépend de l’épaisseur du matériau (E exprimée en mètre) divisée par sa conductivité thermique (lambda λ ) : R = E / λ.

Les matériaux isolants thermiques ont des lambdas λ inférieurs à 0,060 W/(m.K).

La valeur U indique la conductivité thermique d’un système d’isolation à laisser s’échapper la chaleur vers l’extérieur, et équivaut à l’inverse de la valeur R (U = 1/R).
Plus la valeur U est basse, meilleur est le système d’isolation.

Les parois externes
Pose d’un isolant en polystyrène extrudé en raison de sa qualité supérieure qui offre plusieurs avantages :

• protège l’étanchéité de la structure,
• parasismique en absorbant les contraintes mécaniques,
• atténue les contraintes thermiques,
• renforce la masse volumique qui limite la sensation de paroi froide,
• diminue l’hygrométrie intérieure.

Lorsque la surface froide du mur entre en contact avec de l’air plus chaud et chargé d’humidité, cas d’un abri enterré (ou d’une cave) de la condensation se forme inéluctablement.

Les murs intérieurs (de fait non perspirants)
Un abri bien isolé augmente le confort, et permet de réduire les dépenses énergétiques, et donc de gagner en autonomie.

Nous utilisons des isolants naturels imputrescibles et ignifuges qui assurent une excellente isolation thermo-hygrométrie avec une valeur *U de 0,25 associée à un système de ventilation performant pour éviter les risques de condensation au niveau des ponts thermiques.

Deux cas de figurent se présentent (en rapport financier) :
Soit l’intégration de l’isolant à cellules fermées étanche à l’air, c’est à dire non hygroscopique, plaqué sur le mur en béton, l’installation des réseaux hydrauliques et électriques se faisant alors en saillie, et donc apparents.

Les parois devront être parfaitement calfeutrées pour assurer une parfaite étanchéité à l’air, et éviter toute lame d’air circulante à l’arrière du doublage.

Soit une ossature métallique et une lame d’air qui offre un avantage thermique supplémentaire, et sert d’espace technique qui permet de cacher les réseaux, ce qui donne un aspect beaucoup plus design.

On dispose l’isolant naturel en deux couches croisées, et par dessus le pare vapeur qui est une membrane étanche à l’air pour éviter les déperditions de chaleur, mais surtout la migration de la vapeur d’eau génératrice de condensation source de sérieux problèmes à brève échéance…

Rappel : un système de ventilation efficient est INCONTOURNABLE !

Le sol – réalisation de A à Z
La réalisation de la dalle (sans vide sanitaire) se fait en 4 ou 5 étapes :
1 – réalisation d’un hérisson avec du ballast, et une couche de sable dont l’ensemble est compacté, et sert au drainage, et à l’assise de la dalle de béton,

2 – pose d’une membrane de protection étanche, et renforcée pour éviter le *radon et les remontées d’humidité,
*gaz radio-actif responsable de 3.000 décès par an lié au cancer du poumon, membrane obligatoire selon votre localisation.

3 – pose des négatifs, du double ferraillage avec doubles épingles, et non pas de simples fers pliés….

4 – coulage de la dalle en béton avec des adjuvants spéciaux, et vibrée.

A savoir : sur un sol argileux il sera alors nécessaire de réaliser de larges et profondes semelles en béton armé permettant de soutenir la dalle, et devront impérativement respecter le sens naturel de l’écoulement des eaux de ruissellement.

Ce process est légèrement different d’une nouvelle construction de maison, où la pose de l’isolant est placé avant le coulage du béton, qui ici n’a rien à voir avec un bunker.

L’isolation thermique de la dalle
Face à l’épaisse dalle de béton sa température se situe à environ 12/13°C (54/55 F°), et nécessite une bonne isolation pour limiter la sensation de pieds froids.

1 – pose de panneaux en fibres naturelles, imputrescibles, et ignifuges pour pré-isoler la chape de ravoirage, (pose d’un film d’étanchéité en cas de niveau supérieur pour éviter les fuites),

2 – pose des règles et bandes de dilatation, et coulage de la chape composée d’agrégats naturels avec une conductivité 5 fois plus isolante (lambda λ de 0,037 W/mK) que les chapes traditionnelles en mortier, mais aussi 6 fois plus résistante (par rapport aux produits équivalents),

3 – pose d’une membrane feutrée naturelle ou réfléchissante en fonction du choix du revêtement de sol final,

4 – pose d’un revêtement de sol naturel pour un confort supérieur, et un air sain sans dégagements de composés organiques volatils (COV).

Il est également possible, en fonction de vos besoins, d’installer un système de chauffage au sol *bivalent raccordé à un ballon tampon faisant office de batterie thermique, et parfaitement adapté en ce qui concerne l’autonomie.
*qui permet de passer d’une source d’énergie à une autre..

En ce qui concerne le revêtement de sol nous vous recommandons des matériaux naturels extrêmement résistants, et à haute signature énergétique qui maintiennent votre vitalité (*Chi).

En effet, le fait de passer du temps sous terre peut induire des pertes de repères dans le temps et l’espace, de réalités, de mémoire, d’équilibre, pouvant conduire à des comportements irrationnels voire dangereux pour le résident lui même, et les autres.

Voilà pourquoi il est important de respecter le rythme circadien par la luminothérapie pour éviter toute désynchronisation, et que des matériaux naturels contribuent à maintenir cette vitalité, y compris avec des équipements de sports et de loisirs.

*Les effets énergétiques des matériaux naturels sont mesurables par un amplificateur DC hyper basse sensibilité qui détecte les champs électriques positifs et négatifs produits par les ions et les champs statiques ultra faibles, et dont le spectre électromagnétique peut être mis en évidence par une technique d’imagerie connues sous le nom d’effet Kirlian.
La photographie Kirlian a été développée par Semyon Kirlian en 1939; travaux repris par le professeur Konstantin Korotkov qui a déposé 12 brevets dans le domaine de la biophysique, et développé l’instrument médical de bioélectrographie GDV (Gaz Discharge Visualisation) qui mesure les émissions de photons et d’électrons des êtres vivants permettant d’évaluer leur état de santé, chose que chacun peut expérimenter aujourd’hui avec l’équipement approprié et découvrir un champ énergétique en forme de Tor qui s’étend entre 1,5 et 2,5 m à partir du cœur.

Le plafond
Pour les murs en béton, l’isolation du plafond sera réalisé avec un isolant naturel imputrescible et ignifuge, et accueillant par dessus une lame d’air permettant de faire passer les gaines de tous les réseaux selon les préceptes de bon sens qu’est la résilience.

Le plafond se fera selon vos choix :

• lame d’air thermique supplémentaire, et espace technique,
• aspect beaucoup plus design.

L’isolation de qualité assurera votre confort, mais aussi limitera votre consommation d’énergie, et donc augmentera significativement votre autonomie.

Ainsi donc l’ensemble de ces paramètres, y compris psychologiques feront la différence à n’en pas douter ! ils vous permettront de rester optimiste, en bonne santé, et déterminé…

Les eaux de ruissellement ou d’infiltration peuvent causer des dégradations physiques et chimiques très importantes sur les structures souterraines traditionnelles.

Notre process constructif et la qualité des matériaux mis en œuvre vous mettent à l’abri de ces dégradations, néanmoins il est primordial de drainer ces eaux en pied de fondation au moyen d’un drain réalisé dans les règles de l’art pour recueillir ces effluents afin de les évacuer ou les traiter selon la finalité de l’abri (temporaire ou permanent).

La structure étant par elle même étanche n’exclue pas le fait de réaliser une barrière hydraulique étanche et flexible résistante aux acides du sol.

Une fois réalisée, celle-ci est soutenue par une géo membrane de haute résistance, recevant elle-même l’isolant en polystyrène extrudé tel qu’indiqué précédemment dans cette FAQ.

A l’intérieur de la structure et/ou l’extérieur (pour un abri acier), il pourra, selon la nature du sous-sol, être procédé à une ultra-imperméabilisation continue avec des élastomères hautement résistants.

Nous utilisons des produits technologiques très haut de gamme inutilisés dans la construction traditionnelle ou inconnus…

L’application nécessite des équipements spécifiques qui atomisent et projettent le produit à haute pression (environ 210 bar), et à chaud (environ 70° C / 158° F), permettant ainsi d’encapsuler parfaitement les supports.

Nous utilisons des produits technologiques très innovants très performants utilisés dans les constructions industrielles.

Oui, nous réalisons et/ou pilotons tous les travaux de gros et second œuvre qui exigent des prestations très rigoureuses.

C’est une véritable mission de maîtrise d’ouvrage qui consiste à s’assurer de la bonne exécution des différents ouvrages et installation des équipements conformément aux cahiers des charges, et plans d’exécution.

La bonne conduite et la coordination permanente des équipes permet de synchroniser les travaux, de répondre aux questions-réponses techniques (QRT), de palier à tout impondérable, et garanti un chantier fluide sans interruption.

Chaque étape ou tranche de travaux est validée par vos soins et vous assure ainsi de la conformité du projet tel qu’il a élaboré avec vous.

Si vous ne pouvez être présent, vous pouvez vous faire représenter par un homme de l’art, qui possède les compétences pour valider nos opérations.

En tout état de cause vous disposez d’un espace client disponible 7j/7 qui vous permet de suivre à distance de façon hebdomadaire du bon déroulement des travaux au travers de photos et/ou vidéos, de les valider et d’apporter vos commentaires.

L’abri acier NRBC-E est une solution modulaire, très sécurisée  pratique et rapide à mettre en œuvre pour un usage temporaire et tout-en-un : panic-room, abri anti-tornade, anti-atomique, cellier, coffre-fort, salle d’armes, stockage, cave à vins car la température moyenne dans l’abri est d’environ 15°C / 60°F.

Le bunker en béton NRBC-E est un ouvrage de génie civil / militaire parasismique pour créer une surface habitable supplémentaire à temps plein, bien plus modulable, un peu plus long à construire, mais beaucoup plus résilient.

L’un comme l’autre sont élaborés selon les normes militaires pour vous offrir un confort et une protection dans des conditions optimales de sûreté et de sécurité.

Nous proposons des abris de toutes sortes, adaptés à vos besoins, selon vos choix, et contraintes.

Si votre choix est par exemple de l’utiliser comme cellier ou stockage sécurisé il n’est pas nécessaire d’y intégrer une unité de filtration NRBC, de lit, de cuisine, de toilette, etc…

Tout dépend de vos besoins, de vos choix, et de vos contraintes.

Nos abris acier en kit NRBC-E (Nucléaire, Radiologique, Biologique, Chimique, et Explosif) commencent à partir d’une surface de 12m2, et comprennent un équipement complet :

• une unité de filtration NRBC haute performance HEPA,
• une porte blindée étanche certifiée anti-effraction CR4 et pare-balle FB4 (voir à Panic-Room),
• un SAS de décontamination à l’entrée équipé d’une porte anti-souffle étanche et blindée,
• une sortie de secours dissimulée équipée d’une échelle repliable, et d’une écoutille étanche inviolable,
• une toilette sèche,
• une douche,
• une cuisine équipée,
• un lit double.

D’autres installations et options sont disponibles

• Réserve en eau par cuve en *béton à partir de 5 m3 (879UK gal / 1056US gal) adaptée au nombre d’occupants et à l’autonomie souhaitée de 1 mois à 6 mois et plus,

*comme indiqué à l’article “l’eau”, le béton est la seule façon de stocker de l’eau sans qu’elle ne croupisse, et ne développe un biofilm potentiellement pathogène.

• filtration par osmose inverse directe, et redynamisation,
• portes blindées spéciales CR5/FB6-FB7 avec oculus blindé, (voir à Panic-Room),
• détecteurs CO2, gamma,
• ciel de plafond ou skyview donnant l’illusion d’un ciel ouvert,
• alimentation électrique hors réseau et autonomie en redondance avec de multiples sources,
• vidéo-surveillance multi-zones et caméras HD,
• système de communication pour échanger avec les intrus, enregistrement numérique et reconnaissance vocale,
• ligne téléphonique filaire sécurisée, transmetteurs, etc…, (voir “Sécurité” à Panic-Room),

Pour votre réelle sécurité nous ne sélectionnons que les meilleurs équipements dans leur catégorie.

Absolument, tel qu’indiqué dans les caractéristiques à l’article filtration, quelque soit l’abri celui-ci est équipé d’une unité de filtration NRBC haute performance et pressurisée à large spectre (SPF) qui le maintient en surpression, et empêche l’air contaminé de pénétrer à l’intérieur.

Votre abri / bunker est équipé de clapets anti-souffle ou anti-explosion qui sont un ensemble mécanique qui permet l’obturation rapide de systèmes de ventilation ayant des débits d’air allant de 12.000 à 60.000 m3/h.

Cette unité fonctionne en mode automatique, et dispose d’une sécurité déclenchant un générateur sur batterie en cas de coupure du réseau électrique, et d’un mode manuel au moyen d’une manivelle qui permet de renouveler l’air de l’abri avec un minimum de 3 m3/h par personne pendant 8 heures en 10 minutes.

Attention, tous les systèmes ne se valent pas ! l’équipement que nous préconisons respecte les normes et certifications Suisses qui font autorité, et sont pourvus d’un certificat officiel d’homologation.

Un filtre HEPA est un filtre à air à haute efficacité (High Efficiency Particulate Air) capable de neutraliser les polluants chimiques ou biologiques, et au moins 99,97 % des particules en suspension d’un diamètre supérieur ou égal à 0,3 micron (µm).

Les filtres HEPA libèrent un air propre dénué de tout virus, bactéries, allergènes, composés chimiques (COV), de la poussière, etc… et offrent une aide précieuse aux personnes souffrant de problèmes respiratoire, et diminuent la pression artérielle systolique.

Nous préconisons également des filtres ULPA à adsorption organique qui peuvent éliminer 99,99% des particules de 0,12 micron.

Les filtres HEPA sont conformes à la norme européenne EN1822 (classe H et U), et classés en différentes catégories, selon leur efficacité minimale (en %) : E10 à E12, H13 et H14, et U15 à U17 (ULPA).

Il est également possible d’intégrer un sas de décontamination à air qui propulse un air filtré de classe HEPA 13 ou HULPA 15 à grande vitesse d’environ 5000 m³/h, ainsi qu’une douche à brumisation lente, et automatisée.

Dans tout espace confiné peu ou mal aéré l’hygrométrie ambiante varie de 70 à 85% du fait du non renouvellement de l’air, et de l’écart de température entre l’intérieur et l’extérieur (delta T), de fait cette humidité génère de la condensation qui provoque un sentiment d’inconfort et de froid.

Cette humidité développe une odeur fétide de moisi qui s’insinue partout, imprègne tous les tissus, entraîne la destruction irrémédiable de tous les matériaux et équipements, engendre de la rouille, crée des champignons et des moisissures qui s’oxydent, et sont potentiellement pathogènes pouvant entraîner de graves problèmes respiratoires et cardio-vasculaires.

De plus, les échanges naturels de l’air intérieur avec l’atmosphère extérieure sont particulièrement réduits, et par sa densité l’air humide tend à un appauvrissement conséquent en oxygène (O2) et à générer du dioxyde de carbone (CO2) plus lourd qui s’accumule au fond en remplaçant l’oxygène de l’air pouvant provoquer une intoxication au CO2 voire une anoxie mortelle (privation d’oxygène).

Il est donc impératif et vital d’évacuer cette humidité pour bénéficier d’un air sain en le renouvelant constamment 24/24h 7j/7 toute l’année, même si votre abri n’est pas occupé.

La qualité de l’air intérieur imposée par la norme NF EN16798-1:2019 indique que les débits minimaux d’air neuf à introduire sont établis sur la base d’une concentration maximale admissible de dioxyde de carbone de l’ordre de 1.000 ppm (partie par million) de taux CO2.

Selon cette norme l’air “pur” extérieur se situe à 400 ppm soit 400 molécules polluées sur 1 million de molécules d’air.

Les seuils à surveiller sont :
410 ppm : taux de CO2 moyen mesuré en extérieur
600 à 800 ppm : qualité d’air excellente, taux idéal en intérieur,
800 à 100 ppm : qualité de l’air moyenne à faible
1000 ppm : mauvaise qualité de l’air, mettre en œuvre une action immédiate
1500 ppm : début de l’apparition de problèmes cognitifs, somnolence, membres lourds, difficulté à respirer, céphalée, etc…

Une atmosphère non confinée est composée d’azote (78 %), d’oxygène (21 %), d’argon (0,9 %) et de dioxyde de carbone (0,03 %), et peut contenir plus ou moins d’eau sous forme de vapeur selon sa température et sa pression.

Cette norme relative à la performance énergétique des bâtiments intervient sur :

• la qualité de l’air intérieur,
• l’ambiance thermique,
• l’éclairage,
• l’acoustique,
• l’humidité.

Enfin pour votre bunker nous recommandons un capteur infrarouge non dispersif (NDIR) qui mesure réellement le CO2.

Ce capteur très fiable (tous ne le sont pas) est équipé en interne d’un double capteur qui permet de corriger la dérive automatiquement, et peut être utilisé plusieurs années sans étalonnage externe.

Au final, on s’aperçoit que la construction d’un bunker est bien plus complexe qu’une simple construction, et doit impérativement être étanche à l’eau, au gaz, mais aussi intégrer de multiples facteurs essentiels pour assurer votre survie dans des conditions optimales de sécurité et de sûreté.

Parallèlement nous assurons l’entretien de votre abri ou bunker au travers d’un contrat d’entretien annuel portant sur 35 points de contrôle vous garantissant ainsi son efficacité en cas d’urgence.

Le prix des abris acier est indiqué au tarif catalogue.

Chaque projet est différent, les tarifs sont donc variables en fonction de multiples paramètres :
– la nature du sous-sol selon l’étude géotechnique,
– le choix du produit,
– le volume, la surface et le nombre de pièces,
– les équipements, le niveau de confort, de finition,
– les travaux de génie civil,
– mais aussi la complexité du chantier, son accès, etc…

Pour bénéficier d’une estimation cohérente et fiable il est nécessaire de réaliser un audit sur place pour connaître le contexte d’implantation, les aspects techniques, l’environnement, etc… afin de définir la faisabilité, et vous orienter sur la meilleure solution en fonction de vos contraintes.

La construction d’un bunker exige des connaissances approfondies, et des savoir-faire particuliers au risque de subir de réelles déconvenues… et de dépenser des sommes importantes en quasi pure perte…

En effet quant on voit certaines maisons qui sont neuves déjà fissurées, et où qui ont des remontées capillaires à 0,9m du sol il y a de quoi avoir peur… imaginez alors le désastre dans un abri enterré… !

Concernant l’aspect constructif celui-ci intègre des process particuliers à respecter, certains équipements doivent être en redondance, et les schémas d’installation doivent respecter les principes de la résilience.

La résilience c’est anticiper des risques multi-factoriels pouvant se cumuler, et exige des études, des matériaux et savoir-faire spécifiques, le respect absolu des préconisations, avec une mise en œuvre très rigoureuse.

Méconnaître ou minimiser ces règles rendront votre bunker inhabitable du fait de malfaçons injustifiables qui se révèleront rapidement, et vous exposeront à des dangers potentiels bien réels…

Vous connaissez le dicton : “le diable se cache dans les détails”…

L’autonomie est définie en fonction du nombre d’occupants, de la durée du séjour, et de l’environnement.

– nous vous fournissons un stock alimentaire à longue durée de conservation adapté à votre demande.

– la résilience hydrique est assurée par la réserve d’eau et le système de filtration.

– l’autonomie énergétique est assurée un mix d’équipements “low-tech” en redondance.

– nous vous fournissons un kit d’urgence complet NRBC-E.

Et parce que la résilience est aussi intellectuelle nous mettons à votre disposition une bibliothèque numérique très importante et enrichissante sur la prévention des risques, la préparation à la survie comment gagner en autonomie, et préserver votre santé.

Comme dans toute construction et installation d’équipements nous mettons à votre disposition un guide complet sur l’utilisation de ceux-ci, mais aussi intégrant les scénarios et stratégies à tenir en cas d’urgence.

Et bien évidemment nous vous formons à l’utilisation de ces équipements avec des exercices en situation afin que vous intégriez parfaitement les automatismes qui conditionnent votre mise en sécurité.

Nous l’avons dit, la technique vous sauvera, pas le marketing…

La garantie légale est de 10 ans (décennale), nous avons construit des ouvrages dans des argiles gonflantes (triasiques) avec un poids de plus de 300 tonnes, à 5m en limite de propriété d’une route en contrebas dans un terrain brut sans mur de soutènement, et aucun désordre 30 ans après…

En fait, tout dépend du mode constructif, de la qualité des matériaux, des équipements utilisés, et de la mise en œuvre, il n’y a donc pas de hasard !

Certaines constructions dépassent le millénaire, prenez en exemple les forteresses médiévales, les cathédrales… et des maisons d’habitation toujours debout depuis plus de 200 ans réalisées avec des matériaux naturels, et souvent locaux.

Aujourd’hui nous avons accès à des matériaux et équipements ultra-performants, bien évidemment il faut rapporter cela au prix que l’on est prêt à investir.

Prenez le temps d’explorer cette F.A.Q. vous découvrirez une mine d’informations qui vous permettront d’avancer dans votre projet.

Comme tous travaux de construction, celui-ci est réalisé en plusieurs tranches :
1 – La préparation, les accès, la sécurisation, et le dépôt des matériaux,
2 – L’excavation, les accessoires, l’intégration de tous les réseaux pour couler le radier en béton armé,
3 – Selon le type d’abri, montage des éléments de structure, et coulage du béton armé et vibré,
4 – Mise en place des protections et remblaiement,
5 – Installation des équipements et raccordements des réseaux,
6 – Essais, mise en service, et réception.

Chaque chantier étant différent, sa durée est définie sur le devis et/ou contrat, et nous vous communiquons un diagramme de Gantt qui vous donnera la visibilité de savoir ce qui sera réalisé quand et comment.

Nous mettons à votre disposition un espace client privé sur internet disponible 24h/24 et 7j/7 à partir duquel vous pouvez suivre semaine après semaine l’état d’avancement réel de votre chantier avec des photos et/ou vidéos.

Dans cet espace vous trouverez également tous les documents nécessaires (documentations, avenants, contrat, factures, appels de fond, etc…) que vous pouvez télécharger et archiver à tout moment.

Quelque soit la durée de votre chantier nous vous assurons que celui-ci est mené sans interruption ou abandon, hors évènement exceptionnel et indépendant de notre volonté.

Ceci est un engagement contractuel, qui vous garantit toute la quiétude que vous êtes en droit d’attendre.

Nous vous conseillerons de stocker tous les produits de première nécessité vous permettant de survivre en cas de crise. Et bien sûr, de stocker tout ce que vous pouvez stocker en objet de valeur.

Des denrées alimentaires
En plus du stock alimentaire fourni, nous vous recommandons une liste de denrées alimentaires énergétiques non périssables et/ou à longue durée de conservation.

Des produits d’hygiène
Du papier toilette, des serviettes de toilettes, du savon, etc…

Du matériel de survie
Des outils divers, matériaux et matériels utiles au bricolage, des gants de protection, des couteaux solides et divers contenants en tout genres.

Un kit de survie basique capable de répondre à des besoins de soins urgents.

De quoi s’occuper
Pour faire de votre bunker, un refuge privilégié, pensez à ne pas négliger les aspects utiles. Il faut donc prévoir un endroit où stocker des livres, des jeux et une radio à pile pour rester informé.

Nous mettons à votre disposition une bibliothèque numérique très importante et enrichissante sur la prévention des risques, la préparation à la survie comment gagner en autonomie, et préserver votre santé.

Des armes (voir l’article à Panic-Room “A propos de votre sécurité”)
La résilience est une forme de survivalisme qui constitue aussi à se préparer à l’improbable, en conséquence un armement de défense adéquat est important pour votre survie.

Qu’il s’agisse de quitter les lieux ou de vous protéger contre une attaque, vous ne pouvez prévoir comment les évènements évolueront à l’extérieur de votre bunker.

Il ne s’agit pas ici de faire une quelconque propagande, cependant chacun sait qu’il n’y a pas de responsabilité première plus grande ni plus légitime pour l’État que de protéger ses citoyens…, et pourtant il a imposé une législation liberticide, contre nature, et mortifère…

Ce sont des faits, pour vous en convaincre il suffit de regarder les faits divers pour être en prise avec la réalité…

Pour éviter d’avoir à choisir entre être le mouton ou le boucher, la seule option qu’il vous reste est de vous protéger, car vous êtes seul…

Si vous croyez que c’est du délire paranoïaque, essayez le “Notre Père…” ou “Allahou Akbar”, des fois ça marche…

Nous proposons des portes blindées massives et étanches aux gaz chimiques et bactériologiques, mais aussi capables de résister aux effets de souffle, aux projections de débris, aux attaques de force brute qu’elles soient mécaniques et/ou thermiques.

C’est aussi de multiples options, et de nouvelles protections futuristes, et services technologiques sans équivalent sur le marché, telles que définies à l’article Panic-Room “A propos de votre sécurité”.